Comme je suis aussi un gros fana de cinéma je me suis dis que j'allais diversifier un peu notre blog. Je viens vous parler ici d'un film que j'ai vu cet aprem' J'aimerais pas crever un dimanche.. Rien que le titre on est dans l'ambiance. C'est l'histoire d'Elodie Bouchez (Amour) qui à la suite d'une soirée se retrouve entre la vie et la mort. Jean Marc Barr (Amour) qui bosse dans une morgue s'occupe d'elle et tombe sous son charme (ça se comprend). A tel point qu'il va lui faire l'amour.. sauf que ce qu'il n'a pas imaginé c'est que ça allait la ramener à la vie. Pourtant ça lui semble normal à elle, elle demande "pourquoi t'as peur? C'est les morts qui font peur". La petite brune se retrouve donc en face de son sauveur et décide d'entrer dans sa vie pour le meilleur et pour la pire. En effet, JMC a une vie assez dissolue perdue entre amour, violence et soirées SM. Comme il dit si bien "Le monde est petit, je me cogne sur les bords sans arrêt". Le plus intéressant dans ce film c'est vraiment la relation ambiguë qui se crée entre les deux personnages. On est aux confins de l'amour et de la haine, comme toujours. Mais les personnages s'en accommodent, ils veulent ressentir la vie, la vraie: "La douleur c'est mieux [...] au moins on oublie pas l'autre.". C'est un voyage au cœur de l'humanité qui se dessine dans ce film troublant et déchirant, une expérience sensorielle définitive, servie par des acteurs talentueux. Elodie Bouchez a une présence unique et une voix particulière qui résonne toujours dans les esprits (on se souviendra toujours de sa vie rêvée des anges..). Une histoire singulière qui laisse s'ouvrir de nombreux horizons. A voir par la suite: Premières neiges et la saga Too Much Flesh.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire